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Une belle écriture pour raconter le chemin difficile et souvent dramatique des réfugiés.

Un roman qui nous renvoie à la triste réalité de l'exil, que nous découvrons trop souvent par les médias

"Une saga poignante qui annonce l'arrivée d'une nouvelle plume ambitieuse et prometteuse" The Guardian

Laure Adler raconte :

« Agnès Varda voulait créer sa propre légende. Elle avait écrit son autobiographie. Elle ne souhaitait peut-être pas qu'on puisse écrire sur elle. Mais le temps est peut-être venu. Surtout, la fille d'Agnès Varda, Rosalie Varda, qui s'occupe du patrimoine qu'a laissé sa mère, m’a permis d'accéder à des archives totalement inédites et qui permettent de reconstituer la force de caractère, la force artistique de cette personne hors norme qui, à mon avis, est une personnalité incontournable du 20ᵉ et du XXIᵉ siècle. » ... Ecoutez  la suite !

Cette belle rencontre avec Dominique Barberis et l’interview menée comme toujours avec brio par Nathalia Brignoli renforcent notre  désir de lire ce roman.

Nos ressentis de cette « conversation » remémorent la profondeur des sentiments, des secrets, de l’époque à travers les chansons choisis et la question de l’Elégance avec « les robes de Madeleine ».  Ressentis qui ont jailli avec douceur mais aussi passion tout au long de ce moment d’écoute et d’échanges. Que c’est bon à vivre en parallèle à notre époque ! 

Propos eux-mêmes teintés de délicatesse et d’ouverture au questionnement amoureux Dominique Barberis nous incline à découvrir plus profondément son univers romanesque et peut-être par ce roman à se pencher sur cette question : le silence est-il une façon d’aimer ?

Bonne lecture et nous en reparlons quand vous le souhaitez !

La psychanalyste présente insiste bien sur le fait que la relation victime –bourreau est liée à l’histoire de chacun en lien avec la petite enfance. C’est le cas dans une relation amoureuse mais elle peut se retrouver aussi dans les relations professionnelles (harcèlement) , amicales …

Après l’analyse de la psychanalyste, l’intervention de la gendarmerie sur ce service spécialisée : la Maison de confiance et de protection des Familles ,(service existant depuis peu mais peu connu) a fait le lien sur l’intérêt des partenariats. Sa fonction étant de soutenir , informer et former les partenaires et surtout leurs collègues dans les situations de violences faîtes aux femmes.
Le débat a permis de mieux comprendre les mécanismes de l’emprise en s’appuyant sur des exemples du film et à ce titre c’est un vrai message de prévention qui a été transmis au public.

Merci à cette association pour son engagement auprès des femmes en difficultés.